En réponse à :
On a connu (façon de parler) la grande peur de l’an 1000, on n’était pas vraiment rassuré en l’an 2000 (rappelez-vous le bugg !). 10 ans après, on ne va pas remettre ça… Dijon bouge (le monde aussi, d’accord) et on n’a pas envie, ici, de rejoindre les rangs de ceux qui prédisent le pire pour les mois à venir. Présomptueux ? Peut-être. Plutôt que de faire des cauchemars, rêvons un peu, dans ces pages.
Peur de l’an 2010, nous ? Jamais, foi de Bourguignons… Peur de l’avenir ? Ah non ! Tout comme les (...)