En réponse à :
Le petit parisien a eu bien des malheurs. Des croûtes anémiques, des mies cartonneuses, des jambons parcheminés. Un moment, on l’a cru perdu, menacé qu’il était par la crise générale du pain français et par la vogue peu résistible de ces sandwichs verticaux importés des Amériques, qui se présentaient à moindre frais comme un repas véritable alors que lui ne faisait qu’en constituer, dans les esprits, une alternative par défaut. Nourriture prise au vol suivant les circonstances -emplois du temps bousculés, (...)