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TGV Est À croire qu’elles se sont données le mot, étrange, l’étrange. C’est ce qui vient à l’idée lorsqu’on déroule les villes du grands Est et leurs expositions. C’est Strasbourg qui donne le ton avec “L’Europe des esprits”, puis on passe par les Modernes à Colmar et Belfort avec les premiers cubistes, tr ès discordants pour l’époque. Bâle plonge dans l’inconscient avec « Les surréalistes de Paris et quelques Dadas », fameux « anarchistes « de l’art, puis on rentre vraiment dans l’insolite - voire (...)