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Un numéro pareil, on n’aurait pas pu vous le livrer cet hiver. Trop froid, trop triste. Personne ne voulait plus travailler, certains sont allés voir ailleurs si l’herbe était plus verte, le soleil plus chaud. On vous parlera d’exotisme une prochaine fois (des Antilles à Marrakech, on a rencontré des Bourguignons ayant réussi à se faire une place au soleil). Retour sur les Dijonnais réjouis qui ont suivi les Pleurants à New-York dans le cadre de l’opération connue sous le nom de code : « Dijon must (...)