En réponse à :
L’idéal, pour qu’on ne se rende pas compte du vide festif de ce Noël à venir, c’est que la grippe empêche toute réunion autre que familiale, puisqu’il n’y a rien à se mettre sous la dent : pas d’opérette ou d’opéra-comique pour se marrer en regardant la scène et le public tout à la fois, pas de grand classique revisité pour permettre aux enfants de découvrir Molière, pas de pièce de boulevard pour permettre à la bourgeoisie locale (plus personne ne dit ça, en fait : on crie aux Bobos partout) de rire le lundi, (...)