En réponse à :
La première fois que j’ai rencontré Sabine, j’ai cru à une erreur. En plein été, avec son imper sanglé, son allure décidée, et son portable à l’oreille ou sur la table pour suivre l’info en continu, j’ai cru qu’elle tournait elle aussi une adaptation de BD célèbre.
Faut dire que j’avais reçu, deux jours auparavant, un message sybillin m’annonçant que je devais me trouver à 9 heures pétantes devant mon ordi. J’ai failli renverser le café, en découvrant les dernières news dijonnaises, écrites sur un ton mordant (...)