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J’entre dans le grand atelier au plafond haut et baigné de lumière. Je me réjouis : ça sent la térébenthine. Aux murs, des toiles de formats différents presque toutes en noir et blanc. Sur un autre mur, une multitude de papiers, un portrait de Gustave Courbet, des photos sont épinglées en tous sens comme une liste d’indices. Je mène l’enquête…
Yan Pei-Ming, installé dans un fauteuil club fume le cigare. Il m’accueille chaleureusement et m’invite à m’asseoir près de lui. Le titre de son exposition (...)