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Combien d’années a-t-il fallu à Marc Meneau pour être en paix avec lui-même ? L’homme qui courait après la gloire semble aujourd’hui plus serein, même s’il adore déambuler dans Vézelay, être reconnu à défaut d’être aimé, voire compris. A 3 km de là, Saint-Père-sous-Vézelay serait peut-être restée la grande oubliée de l’histoire si cet enfant du pays, fils et petit-fils de bourrelier, épicier, cordonnier, aubergiste depuis des siècles, (« j’ai 500 ans de famille dans mes godasses ! ») n’y était né, voilà déjà (...)