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C’est la formule qu’Alex Miles rêve de voir un jour sur toutes les affiches municipales pour annoncer le festival dont il a rêvé pour booster l’été dijonnais. Il est même allé à la Maison Blanche défendre son projet, bénéficiant tout autant de ses connaissances personnelles que du goût du nouveau président pour la moutarde de Dijon. Bon, d’accord, c’est pas gagné. Car l’homme a un don pour plaire autant que pour déplaire. C’est peut-être le plus horripilant des Bourguignons : normal, il est américain. Alex (...)