En réponse à :
Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il traverse une zone de turbulences. Le plafond est bas sur l’aéroport Dijon-Bourgogne, dont l’intérêt pour l’économie locale et pour les déplacements de chacun ne fait de doute qu’aux yeux de quelques esprits chagrins. Le départ des avions de chasse, le retrait du conseil général de son financement, le développement concomitant de l’aéroport de Dole, l’attitude un peu compliquée à saisir de certains élus, Eastern Airways qui baisse la voilure… Bref, on ne sait plus (...)