En réponse à :
Merci, Jean-Pierre Foucault. Un grand merci à toi pour nous avoir permis de nous (ré)chauffer en ce mois de décembre qui donne des envies d’hibernation à plus d’un.
L’hibernation étant une façon comme une autre d’évacuer le problème du réveil : Dijon, au printemps, c’est toujours plus glamour. Promis, dans le prochain numéro, en mars-avril, on ne parlera pas d’élections, mais d’une ville en mutation, avec ceux qui la rêvent et ceux qui la font. Rarement les mêmes, quoique...
Pour l’heure, saluons la (...)