Printemps 2016
N°661er Spectacle : Le Roi Lear juillet 1974
Centre Dramatique National dirigé depuis janvier 2013 par le metteur en scène Benoît Lambert. On peut y voir des classiques, des grands noms de la scène française, découvrir des artistes émergents. C’est un théâtre pour tous, y compris les jeunes.
35 spectacles en moyenne par saison : une vingtaine de septembre à fin avril, une quinzaine pendant le festival Théâtre en mai.
Entre 33 000 et 34 000 ces dernières saisons, dont environ 37 % a moins de 30 ans
Jauge : 270 au Parvis Saint-Jean, 164 Salle Jacques Fornier.
Depuis sa création, Tartuffe ou l’imposteur de Molière, mis en scène par Benoît Lambert, a été vu par 4 973 personnes à Dijon pour 18 représentations au Parvis Saint Jean (taux de remplissage 102.3 %). Notre coup de cœur à l’époque.
Que faire ? (le Retour), co-écrit par Benoît Lambert et Jean-Charles Massera, a été vu depuis sa création par 3 898 personnes à Dijon pour 17 représentations salle Jacques Fornier et 5 au Parvis Saint Jean (taux de remplissage 102.5 %). Un grand moment de vie.
Le TDB est un théâtre de service public : outre la création et l’accueil de spectacles, ses subventions permettent d’afficher un prix moyen du billet aux alentours de 10 €, très loin du coût réel de la place.
Côté fréquentation, tout va bien, le taux moyen de remplissage depuis 2013 est d’environ 95 %.
Le Parvis Saint-Jean est une église désaffectée au culte qui ne dispose pas de tous les attributs d’un véritable théâtre. Il a été aménagé du mieux possible, les loges installées dans ses deux tours, mais ne possède pas de dessous de scène par exemple. Conséquence : très souvent, un acteur qui sort de la scène à jardin ou à cour et qui revient en scène quelques minutes plus tard de l’autre côté, pour ne pas être vu du public en salle, doit sortir du théâtre et marcher costumé et maquillé dans la rue Bossuet, au vu et su de tous les passants des rues Monge et Danton.