Hiver 2017-2018
N°73
Mercredi 07 Février
Ouverture de La Vapeur Soirée d’inauguration
08 – 11 Février
Festival GéNéRiQ
11ème édition
Samedi 03 Mars
Rone
Abstrackt Keal Agram
Maud Geffray
Electro à lunettes
Mercredi 21 Mars
Camille - Chanson
Vendredi 23 Mars
Girls In Hawaii - Pop
Vendredi 30 Mars
Lomepal - Rap
Vendredi 06 Avril
Euromuses présente Les Fatals Picards Rock
Vendredi 27 Avril
General Elektriks - Electro soul
Mercredi 16 Mai
Scenizz présente Brigitte - Chanson pop
Samedi 19 Mai
HollySiz - Pop rock
Samedi 26 Mai
Omar Souleyman
Techno Syrienne
1. Venez à la soirée d’inauguration.
Faites une croix à la date du 7 février 2018 dans vos agendas. Après 18 mois de travaux, l’équipe, les bénévoles, les habitués et tous les autres ont plus qu’impatience de ré-occuper les locaux. On ne sait encore rien de la programmation, mais ça promet d’être une java mémorable !
2. Repérez tous les bars de la salle.
La nouvelle Vapeur va se doter d’un nouveau club, d’une nouvelle grande salle...et chacun sera doté de son bar dédié. Alors, mettez dès maintenant en place une stratégie de sioux pour éviter les temps d’attente entre les concerts. Pour indice, le temps entre le seuil de la grande salle et le bar du club a été calculé à 35’’26’’’. Tranquille.
3. Achetez votre Carte Vapeur.
Elle coûte 15€. 13,3 Livres Sterling. 332 pesos. 1150 roupies. Et pour juste cela… Un concert gratuit par trimestre, un tarif réduit toute l’année, des cadeaux, des jeux, des rencontres avec les artistes, des tarifs réduits dans les salles de la région (Chalon, Belfort, Auxerre, Nevers, Mâcon, Besançon, etc.) et aillleurs (Mulhouse), des tarifs réduits au TDB et avec des événements ponctuels. La rumeur dit qu’elle est nécessaire pour candidater chez les Francs-Maçons, mais chut !
4. Mettez-vous les régisseurs des studios de répétition dans la poche.
Samuel et Tony vont être ultra sollicités dès la réouverture des studios par tous les musiciens du coin, et même de plus loin. Alors si vous faites partie de ceux-là, sachez que nos deux larrons ont des goûts simples : Mouton Cadet-Rothschild, Caviar iranien et cigares cubains de luxe. Mais ils restent professionnels avant tout évidemment !
5. Abonnez-vous à la newsletter.
Et suivez l’actu de la salle via le Vap’Zine. Vous aurez les infos en même temps que la presse. Ou presque. Ça vous permettra d’avoir une longueur d’avance pour les concerts « billetterie complète en 3 minutes ». Et si vous avez manqué ledit concert, vous vous contenterez des belles photos qui paraîtront sur le magazine de la Vap : le Vap’zine. ■ M Caye
Souvenirs, souvenirs,
La Ruda Salska, 15 avril 2004 - Lycéen et boutonneux, je ne sais pas encore ce que c’est vraiment qu’un concert de rock. La Ruda Salska, c’est un groupe de rockeurs à trompettes : festif et pêchu. Comme pour tout le monde, je suis embarqué dans l’aventure par un cousin amateur de sensations fortes. Coeur du concert, je regarde les slammeurs (pas ceux qui font de la poésie parlée, ceux qui sont portés par la foule !) avec un mélange de trouille et d’envie. Je n’ai pas le temps de dire « vindieu » que je suis porté par 3 ou 4 rigolos qui se disent « on va le faire voler le minot ». Et là, décollage ! C’est incroyable tant la foule est compacte. Je suis déjà un beau bébé pour mon âge, mais ça n’a pas l’air de déranger les allumés d’en dessous. Extase, légèret...BAM ! Je retourne à la terre aussi rapidement que je l’avais quittée. Mon front s’en souvient encore…
Lofofora, 11 avril 2015 - En coulisses, il y a des artistes plus sympas que d’autres. Il y a les connards qui méprisent tout le monde, les gens normaux qui disent « bonjour monsieur, bonjour madame » mais qui t’oublient une fois le concert passé, et il y a ceux de la trempe de Lofofora, groupe français de rock énervé et engagé. Ce jour-là, je joue en première partie. Après le concert, on regagne notre loge tranquillement lorsque...VLAM ! S’ouvre la porte de la loge principale. Reuno, le chanteur de Lofofora nous gueule dessus : « eh vous, les barbus, venez donc en loge avec nous ». La suite ? Ti-ponch’, bières belges et fumées diverses. Rock’n’Roll, baby !
Télérama Dub Festival, 2 novembre 2013 - La grande salle est transformée en immense dance-floor dub. Des soundsystems (murs de sons composés d’enceintes énormes) sont montés partout et diffusent la même musique. En transe devant les hauts-parleurs, on a vraiment la sensation d’être emporté par une vague continue de fréquences basses. Dans un coin, un des soundsystems a l’air d’être moins fréquenté, sauf par une vingtaine de jeunes qui ont l’air de prendre leur pied. Je suis rejoint par un technicien de la salle qui me dit « ils sont vraiment nuls ces jeunes, ce mur d’enceintes-là est débranché depuis au moins deux heures ! ». Des nuls, on vous dit ! ■ Martin Caye