Été 2018
N°75Dole dans les yeux d’Yves Regaldi se dévoile comme je l’aime, comme j’aime à en parler à Dijon ou Besançon.
Longtemps dans une sorte de zone d’ombres, hantée par les fantômes de l’avant conquête française ; regardée par Besançon comme les confins de la Comté et par Dijon comme « un autre coté du rideau de fer » (la Saône) ; Dole, avec la fusion de la Bourgogne et de la Comté s’impose non pas comme une ville-pont mais comme LA ville-pont.
On se découvre havre de paix et terre d’accueil entre deux cités qui se pensent concurrentes. Ici on cultive l’art de vivre, de grandir, d’aimer et de vieillir, parce que c’est juste humain.
Les photos d’Yves Regaldi parlent d’humanité dans une ville à taille humaine.
■ JP Lefèvre
Maire adjoint à l’action culturelle
Conseiller régional BFC