Hiver 2014 2015
N°61
Rien de commun direz-vous entre Brigitte Durieux, chineuse spécialisée dans le monde de l’industriel, Marie Vindy, chroniqueuse judiciaire experte en polar (très) noir et Marlène Jobert, mémoire du cinéma français ? Sauf le fait d’être (ou d’avoir été un jour, dans le cas de Marlène) dijonnaises, bien sûr. Des Dijonnaises, qui sortent en cette fin d’année des livres qui se lisent d’un trait. Vous retrouverez les souvenirs d’une actrice n’ayant pas froid aux yeux (ni au reste) dans la chronique d’Albert Tournepage, pages suivantes. Une façon pour lui de se rappeler les années où il quittait en cachette le Bien Public pour aller assister à une avant-première au Gaumont ou à la Grande Taverne.
Marlène Jobert - Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages - 1968. DR