Printemps 2016
N°66
Jusqu’à la mi-septembre, le musées du château des ducs de Wurtemberg de Montbéliard propose Plénitude d’un fauve, une rétrospective de l’œuvre de Jean Puy (1876-1960), peintre au cœur des révolutions artistiques du début du XXème siècle.
On ne parle plus que de lui… en littérature (voir les pages Livres d’Albert Tournepage), et voilà que le musée Courbet d’Ornans (Doubs) nous concocte l’expo de l’été : « Courbet et l’impressionnisme ». Du 9 juillet au 19 octobre. Corot, Daubigny, Jonkind, Monet, Manet, Renoir, Morizot. Rien que ça ! Faire comprendre les liens personnels et artistiques qui unirent les maîtres du réalisme à cette jeune génération d’artistes, tel est l’enjeu. On ne va pas cracher dessus.
(pages 70-71)
le tricentenaire de la naissance de Louis Jean-Marie Daubenton (Montbard 1716-Paris 1800). Moins connu que son compatriote Buffon, ce savant occupe néanmoins une place de choix dans le paysage intellectuel du XVIIIe siècle. Médecin, anatomiste, minéralogiste, contributeur à l’Encyclopédie, premier directeur du Muséum national d’histoire, Daubenton fut tout cela. Nombreuses manifestations au musée et au parc Buffon.
Lorsqu’il s’était lancé dans la restauration, en créant à Paris
Les Tontons, notre Mégalo maison avait rendu hommage à l’un des films préférés des Français. Pour souffler les bougies du centenaire de sa naissance, il ne pouvait faire autrement que de se fendre d’un portrait. D’autant que la seconde femme du bon Bernard est de Pontarlier !
(page 26)
30 ans et pas une ride de plus qu’à ses débuts. Vous l’avez peut-être revue ces jours-ci lors de sa tournée dans la région ou à la télé, où ses différents spectacles passent sur une chaîne du câble. Lola Semonin a repris le décor de ses débuts, changé ses textes et du coup, la vente des saucisses de Morteau (son pays) ne cesse de grimper. Les seuls textes signés Proust que les Français connaissent par cœur.
Le 11ème Festival de Besançon/Montfaucon se déroule du 6 au 15 mai. L’itinéraire appelé « La via Francigena » (la voie des français) passe par Besançon et Montfaucon, en direction d’Ornans, Jougne et Orbe. Une une vingtaine de concerts sur instruments d’époque. Une autre façon de voyager du Moyen-âge au 21ème siècle avec des rencontres musicales programmées dans des lieux exceptionnels.
On a été un peu vite pour le titre, on voulait juste vous signaler la plaque signalant l’inscription des Climats de Bourgogne à l’Unesco, etc, etc… En attendant que l’événement soit signalé sur l’autoroute, enfin ! Profitez des beaux jours pour suivre les visites guidées de l’office de tourisme qui vous feront mieux comprendre la vie de bourgade vigneronne que menait Dijon autrefois. Et en juin, grande fête pour célébrer les Climats.
Beaune qui rend hommage à l’anar le plus célèbre de la chanson française, on croit rêver ! Lectures, spectacles, photos, concerts, dégustations au programme jusqu’à fin octobre de la bibliothèque Gaspard Monge
Le grand Charles Rozoy nous avait bluffés il y a quatre ans en remportant l’épreuve des jeux olympiques handisport du 100 mètre papillon. Il a raconté son parcours de l’accident à la médaille d’or dans son bouquin : Comment j’ai réussi à nager le papillon avec un seul bras sans tourner en rond. A 29 ans, il a repris l’entraînement, tout en s’impliquant dans la vie de la cité et le partage avec les jeunes. Rendez-vous en septembre à Rio. On est derrière toi, Charles !
« C’est si bon » de retrouver les pubs des années 50. Vous avez jusqu’au 23 mai pour découvrir cette expo réalisée par le musée Nicéphore Niepce à la maison Veuve Ambal, à Montagny-les-Beaune.
Il a appris qu’il était devenu le plus jeune chef étoilé le jour même où il partait en vacances, alors qu’on commençait à faire la queue devant Les Cariatides, rue Chaudronnerie, à Dijon. Il a bien fait de reprendre des forces, car aujourd’hui, c’est un sans-faute que toute l’équipe mise en place par Thomas Collomb, autour de lui, doit réaliser, à chaque service. Résa obligatoire quinze jours à l’avance. (page 52)
On se salue ainsi en Bavière mais Alexis Gruss est bien un enfant du pays, né du côté de Montbéliard il y a près de sept décennies de cela. On est ravi de revoir au Zénith les 26-27 avril un de ceux qui nous ont fait le plus rêver lorsque Dijon accueillait encore des pistes aux étoiles dignes de ce nom. Il nous offre cette fois un spectacle phénoménal destiné à concilier le ciel et la terre, le monde des acrobates et celui des cavaliers. (page 24)
Sol, depuis qu’il passe à The Voice, c’est une star. Après Jamait, après Dominique Fernandez, un nom à retenir. Pas du genre à défiler lors des manifs, celui-là. Les stars de TF1, il les a bluffées. À commencer par Zazie, qui a lâché : « C’est pas à Dijon, les tripes, d’habitude ! ».
(page 22)